Au milieu d'une guerre en Ukraine, la France se prépare à déménager sur son sol dans une vingtaine de productions industrielles militaires, révèle que la Franceinfo a mardi.Rémi Baudot. Dans le contexte ukrainien, Emmanuel Macron a appelé à des armements français à produire plus en plus rapidement, une question de souveraineté et crédibilité sur la scène internationale. Mois arrière, nous avons appris que la France se préparait à déplacer la production de poudre pour ses coquilles d'artillerie .Selon nos informations, en tout, il y aura une vingtaine de délocalisations stratégiques en France. Le ministère des Forces armées prévoit de "conseiller l'utilisation de la" demande Tiktok aux soldats français En détail, la France sera donc nouveaux de bateaux produits jusqu'à présent dans les pays orientaux, explosifs pour les grands calibres Suède, en Italie ou Allemagne sur son territoire, mais surtout, parties considérées comme «critiques» pour certains moteurs d'hélicoptère.Nous parlons ici précisément disques turbines à haute pression RTM322 Bi-Motors. Jusqu'à présent, ces parties ont été développées aux États-Unis, puis forgées en Angleterre, le développement et la forge seront fabriqués en France dans leAubert et usine Duval située à Puy-de-Dôme. "Produire le français" aura un coût Si le projet doit être lancé cette année, la production n'est pas attendue avant le début de 2025. Il y a une question de budgets, car cela "coûtera plus cher" mais "nous serons moins dépendants", il est dit que la Tominiry de l'armeForces. Ce retour au sol français cette industrie l'armement est une bonne nouvelle pour l'emploi, notamment à Aubert et Duval à Auvergne-Rhône-Alpesvrait augmenter 250 000 euros pour le budget la défense chaque année. Il devra donc encore augmenter les budgets. La loi sur la programmation militaire est actuellement en négociation. Nous parlons aujourd'hui de 400 milliards d'euros entre 2024 et 2030. Il y a donc la question de l'argent, mais le tissu industriel français doit être en mesure derépondre à cette nouvelle demande.Sur les 4 000 industries de la défense française, au moins 200, souvent des PME, "ne pourraient pas augmenter leur cadence". Gotopnews.com