Selon le groupe Gendarmerie Loire-Atlantique, les soldats présents à bord du véhicule ont été entourés et menacés par des manifestants. Ils auraient décidé de forcer le barrage à "éviter un drame". Une enquête est en cours. Le Figaro Nantes Pour découvrir, suivre toutes les nouvelles de la ville de Nantes L' circule beaucoup sur les réseaux sociaux. Il est une source de nombreux commentaires souvent hostiles à la police.Nantes. À un homme blessé par balle dans les districts du Nord D'un autre côté, en revanche, une barricade composée de poubelles et de grilles de site a été érigée à une époque à la carrefour du centre-ville. Elle a bloqué le passage de caritUp.Il est dans ce contexte qu'une scène fait beaucoup de discussions. Après le passage d'un camion de pompiers, une voiture «imprimerie non écran», équipée d'une balise bleue, s'est retrouvée bloquée par les manifestants.Le conducteur à bord a décidé de forcer le passage à faire son chemin. Vingt-quatre heures après les faits, les progrès de la scène sont maintenant mieux connus. "Évitez un drame" Le groupe Gendarmerie de Loire-Atlantique, puisque c'est lui qui est impliqué dans cette histoire et non la police nationale comme cela avait été mentionné par certains au début, a décidé de clarifier les choses avec le Figaro et de donner sa version des faits.En fait, des soldats qui ont escorté les pompiers. «Peu de temps avant, les membres de la surveillance nationale de la gendarmerie Peloton avaient arrêté un individu dangereux à Treillies [une ville à 20 km au nord de Nantes, la note de la rédaction].Cust à vue devait être conduit à l'hôpital universitaire de Nantes pour l'hospitalisation automatique. Pour lire ainsi que les collectionneurs à ordures à Nantes Pendant que le mouvement continue, la ville joue sur ses positions Si les pompiers pouvaient passer la barricade, ce n'était pas le cas avec le véhicule Gendarmes dans lequel trois soldats étaient.Avec cette situation inacceptable, ils ont décidé de partir rapidement pour éviter un drame ", explique le groupe Gendarmerie qui fait le parallèle avec les attaques précédentes en France au cours desquelles des véhicules, ou même la police, il a été brûlé, Asthis avait été le cas à Viry-Châtislon en octobre2016. Une enquête ouverte Si le véhicule Gendarmes a été endommagé par les manifestants, le personnel à bord n'a pas été physiquement blessé. «Cependant, ils sont psychologiquement blessés. Ils avaient très peur, craignant leur santé et que leur voiture ait été incendiée», précise la même source.Ses collègues auraient donc décidé de "s'accélérer et de s'échapper", une manœuvre au cours de laquelle ils ont embarqué, sur leur chemin, certaines barrières se sont empilées et ont bordé plusieurs manifestants. Lisez également Nantes, plusieurs incendies de caravanes et de voitures dans les camps de voyageurs Cette scène fera l'objet d'une enquête de la poursuite de Nantes. Elle devra essayer de déterminer qui étaient les individus qui ont attaqué l'armée. Les raisons présumées sont celles de la violence contre la garde de l'autorité publique et des dégradations. Gotopnews.com