Dans Nice, la permanence du député des Alpes-Maritimes et président du groupe Les Républicains de l'Assemblée, Eric Ciotti, a été estampillé le 19 mars 2023. Valery Hache AFP Plusieurs permanents des élus ont été ciblés au cours du week-end, après le déclenchement de l'article 49.3 sur la réforme des pensions et à la veille de l'examen de la motion de censure déposée par l'opposition. Dans Nice, la permanence du député des Alpes-Maritimes et président du groupe Les Républicains à l'Assemblée, Eric Ciotti, a été balbutidé pour le pousser à voter la motion de censure, a dénoncé le député des Alpes-MaritimesOntwitter, support des photos. "Cette nuit, ma permanence a été tirée.ou le trottoir ". Il a déposé une plainte et une enquête a été ouverte, a déclaré la préfecture à l'agence de France-Presse . «Parce qu'il n'avait pas condamné la permanence du LFI dans le passé. Lire aussi Article réservé à à LR, l'unité du duo Eric Ciotti-Laurent Wauquie a affaibli par la réforme des pensions "De toute évidence, aucun de nous ne peut approuver l'attaque contre une permanence parlementaire.Mais si vous ne voulez pas de violence, acceptez la démocratie", a ajouté M. Mélenchon pendant le programme "Grand Jury RTL, Le Figaro-LCI". Le président de la LR dit, "Je ne céderai jamais aux nouveaux disciples de la terreur". Dans un communiqué de presse, il a accusé le "rebelle", qui "légitime leurs discours et leurs actes, cette violence inacceptable". Facréable à la réforme hautement contestée des pensions, M. Ciotti a déclaré que son parti voterait "aucune" des requêtes de la censure déposées contre le gouvernement, afin de ne pas "ajouter le chaos au chaos". Mais une poignée de députés de son campa annoncé qu'ils voteraient au moins le mouvement transpartisan présenté par le groupe indépendant Liot. Un homme pendu tiré sur une permanence de la majorité D'autres parlementaires éminents sont ciblés depuis jeudi. La permanence du sénateur du pas-de-calais Amel Gacquerre a été marquée vendredi. Une suspension a été attirée par celle de la députée de la Renaissance Guillaume Gouffier Valente, à Val-de-Marne, a noté l'AFP dimanche. Le procureur de la République de Colmar, Catherine Sorita-Minard, a également confirmé à l'AFP l'ouverture du samedi 18 mars d'une enquête pour "intimidation envers un élu", après des dégradations sur la permanence à Colmar de la Deputyhaut-Rhin Brigitte Klinkert.Des inscriptions comme "Vous votez contre nous, nous nous souviendrons" y ont été apposées, a rapporté le journal L'Alsace. Lire aussi Article réservé à de réforme des pensions le 49.3 va mal avec une partie de la majorité macroniste Le député de la Renaissance, Karl Olive, a témoigné dimanche au studio RMC, sous la protection de la police, après les menaces. "Démontrer est un droit.Destestage est une infraction" et "je veux que nous ayons une main ferme", a-t-il déclaré. Jeudi soir, le propriétaire des députés de la Renaissance, Aurore Bergé, a demandé au ministre de l'Intérieur de "mobiliser les services d'État" pour "la protection des parlementaires". "Je ne veux pas que nous ayons des députés, quoi qu'ils soient, quiCraignez l'utilisation de la violence demain afin qu'à la fin leur vote change ", a-t-elle déclaré dimanche lors du programme" Questions politiques "pour la France Inter, la France Télévisions et Le Monde. Le monde avec AFP Gotopnews.com